L’art est fait de contrastes. Il permet à des artistes comme Nikola d’exprimer une quête de sens et un besoin d’aller à l’essentiel pour retrouver ses origines et y prendre racine. Né dans une famille franco-monténégrine d’une culture où les sentiments restent tus, Nikola a appris, grâce à la musique, à exprimer ses ressentis et ses aspérités. Alors, depuis petit, il écrit des poèmes oraux, des exutoires qui tentent de comprendre le passé pour connaître le présent et construire une vision pour demain. Avec, comme influences, la grande chanson française, de Jacques Brel, Barbara ou Léo Ferré, alliée à la musique de son temps et aux thématiques modernes. L’énergie de son pays, le Monténégro, transpire de ses interprétations où l’on chante et danse la joie en pleurant.