THEODORT
Afrobeat
Dans la tradition béninoise, on appelle les enfants en fonction du jour de leur naissance. Fidèle à cette coutume, THEODORT reçoit « Imad » comme deuxième prénom. Héritage de son identité métisse, ce nom porte « force et lumière ». Il écrit aujourd’hui l’aventure d’un artiste dont la mue s’opère en musique. Dans les voyages et les rencontres. L'histoire de ce premier album débute après un voyage à Cotonou chez sa famille maternelle où la musique a toujours bercé la vie quotidienne du foyer. Depuis tout petit, THEODORT s’y rend au moins une fois par an avec ses parents, couple franco-béninois. « J’ai grandi dans une famille de musiciens. Mon père est un grand passionné, il m’a beaucoup transmis. Il y a aussi la famille de ma mère au Bénin, bien implantée dans le milieu. » Il poursuit : « Très jeune j’ai eu ma première caméra avec laquelle je faisais des vidéos et j’enregistrais des morceaux. THEODORT est galvanisé par l'énergie et les inspirations du pays. De retour à Paris, il s’enferme avec sa bande de potes en studio. Il y a l’ingénieur du son MAD! (Ziak, Zed, Vald, Nessbeal, web7...), à la réalisation Web7 (anciennement connu sous le nom de 7 Jaws) et Lowonstage à la composition. Entouré de son équipe, THEODORT explore de nouvelles sonorités et s'appuie sur l’expérience d’un premier essai réussi : le titre « Atisuba» (à demain, dans le dialecte dendi du Bénin) sorti durant l’été 2022. THEODORT expérimente. Il chante sur « BB » qu’il envisage très vite comme l’intro de son album. Il invente des gimmicks comme « Wayeh » ou « Toko dombi » qui lui donnent les titres et les refrains de deux morceaux. Durant toute l'année 2023, il pense la musique comme une activité centrale dans sa vie et travaille sur des morceaux plus personnels ; porté par cette volonté qui ne le quitte pas depuis les premières BDs gribouillées : « raconter des histoire ». Entre les lignes rappées, les passages chantés, le piano, la guitare, les chœurs et cette douce mélodie : « Quand on dit on va le faire, nous on le fait en vrai. » THEODORT se présente sur 15 titres dans son premier album « Imad ». Iribin nãte*.
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THEODORT
Dans la tradition béninoise, on appelle les enfants en fonction du jour de leur naissance. Fidèle à cette coutume, THEODORT reçoit « Imad » comme deuxième prénom. Héritage de son identité métisse, ce nom porte « force et lumière ». Il écrit aujourd’hui l’aventure d’un artiste dont la mue s’opère en musique. Dans les voyages et les rencontres. L'histoire de ce premier album débute après un voyage à Cotonou chez sa famille maternelle où la musique a toujours bercé la vie quotidienne du foyer. Depuis tout petit, THEODORT s’y rend au moins une fois par an avec ses parents, couple franco-béninois. « J’ai grandi dans une famille de musiciens. Mon père est un grand passionné, il m’a beaucoup transmis. Il y a aussi la famille de ma mère au Bénin, bien implantée dans le milieu. » Il poursuit : « Très jeune j’ai eu ma première caméra avec laquelle je faisais des vidéos et j’enregistrais des morceaux. THEODORT est galvanisé par l'énergie et les inspirations du pays. De retour à Paris, il s’enferme avec sa bande de potes en studio. Il y a l’ingénieur du son MAD! (Ziak, Zed, Vald, Nessbeal, web7...), à la réalisation Web7 (anciennement connu sous le nom de 7 Jaws) et Lowonstage à la composition. Entouré de son équipe, THEODORT explore de nouvelles sonorités et s'appuie sur l’expérience d’un premier essai réussi : le titre « Atisuba» (à demain, dans le dialecte dendi du Bénin) sorti durant l’été 2022. THEODORT expérimente. Il chante sur « BB » qu’il envisage très vite comme l’intro de son album. Il invente des gimmicks comme « Wayeh » ou « Toko dombi » qui lui donnent les titres et les refrains de deux morceaux. Durant toute l'année 2023, il pense la musique comme une activité centrale dans sa vie et travaille sur des morceaux plus personnels ; porté par cette volonté qui ne le quitte pas depuis les premières BDs gribouillées : « raconter des histoire ». Entre les lignes rappées, les passages chantés, le piano, la guitare, les chœurs et cette douce mélodie : « Quand on dit on va le faire, nous on le fait en vrai. » THEODORT se présente sur 15 titres dans son premier album « Imad ». Iribin nãte*.
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