Ce deuxième album a été écrit et enregistré entre la France et l’Angleterre, à Londres, où la solitude a façonné ces douze titres arrangés ensuite avec le producteur Paco Del Rosso. De la ballade futuriste aux audaces pensées pour la scène, de la fausse bluette pop rock aux coups de sang plus synthétiques, Eternal Lover explore de nouveaux registres musicaux et une tonalité cinématographique plus radicale, que Silly Boy Blue a nourri de ses expériences ces deux dernières années.
Le titre de l’album, Eternal Lover, est tiré des paroles de la chanson Widow Dreams Forever, qui parle d’amour et de mort, avec un peu d’humour aussi, car les trois ensembles vont si bien à Silly Boy Blue. Eternal Lover, c’est l’image de l’éternelle amante et de l’éternelle amoureuse, dont l’émotion devient universelle. C’est une icône, comme le suggère la pochette de l’album, réalisée par le duo d’artistes culte Pierre et Gilles.
C’est enfin une promesse artistique tournée vers l’avenir et le temps long, en attendant les prochaines histoires à partager.